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Quelques suggestions de films restaurés pour la Fête nationale

Publié le 21 juin 2018
Éléphant / Collection Cinémathèque québécoise - Quelques suggestions de films restaurés pour la Fête nationale.
À l'occasion de la Fête nationale, Éléphant et illico vous proposent une sélection de longs métrages restaurés qui abordent d'une façon ou d'une autre les enjeux liés à notre histoire, à notre identité et à nos aspirations. Que ce soit par le biais de l'humour, du drame ou de l'histoire, ces films portent en eux des réflexions inspirantes sur le Québec.  Bonne Saint-Jean à toutes et à tous!


Le chat dans le sac (Gilles Groulx, 1964, illico et iTunes)

SYNOPSIS
À travers la confrontation à l'âge adulte d'un jeune homme de vingt ans et de sa compagne, dont la difficulté d'être, en toile de fond, symbolise virtuellement le destin de tout un peuple, ce film pose la grande question de l'accession à la maturité politique du peuple québécois telle que perçue par un cinéaste épris d'idéal et d'absolu. (Résumé ONF)


Les tisserands du pouvoir 1 (Claude Fournier, 1988, illico et iTunes)

SYNOPSIS 
Au début du XXe siècle, un million de Canadiens français s'exilent en Nouvelle-Angleterre. Une saga qui s'étend sur plusieurs générations.

 
Les tisserands du pouvoir 2 - la révolte (Claude Fournier, illico et iTunes)

SYNOPSIS
1987. À Woonsocket, Jean-Baptiste Lambert se souvient de la saga et des luttes des 600 000 émigrés canadiens-français devenus autant d'Américains. 
 
 
Les ordres (Michel Brault, 1974, illico et iTunes)

SYNOPSIS
À mi-chemin de la fiction et du documentaire, Les Ordres est basé sur le témoignage d'une cinquantaine de personnes emprisonnées à la suite de l'adoption des Mesures de guerre en octobre 1970. Nous suivons cinq personnages (trois hommes et deux femmes) construits à partir de ces témoignages, de leur arrestation à leur libération. Prix de la mise en scène au Festival de Cannes en 1975.


Elvis Gratton le King des Kings (Pierre Falardeau et Julien Poulin, 1985)

SYNOPSIS
Propriétaire d'un garage et habitant la banlieue, Bob Gratton ne se réalise pleinement que lorsqu'il prend les traits et les habits du " King ", Elvis Presley. «Critique virulente du récit essentialiste fédéraliste et de la pensée conservatrice de droite, ce film interroge la condition identitaire québécoise et prévient des dangers de l'oubli de soi dans la volonté de devenir semblable à l'Autre et de refuser la multiplicité des appartenances.» (Christian Poirier)
 
Tiens-toi bien après les oreilles à papa... (Jean Bissonnette, 1971, illico et iTunes)

SYNOPSIS
Les tribulations de deux Québécois nationalistes dans l'univers anglophone des compagnies d'assurance. Une satire qui puise son ironie dans une situation sociale bien précise. Un exemple fort représentatif des comédies populaires de l'époque qui prenaient appui sur la télévision et les vedettes à la mode, et qui ont fondé un certain courant commercial du cinéma québécois, plus intéressant que celui du «film de fesses».
 

C'est pas la faute à Jacques Cartier (Georges Dufaux et Clément Perron, 1968, illico et iTunes)

SYNOPSIS
Ce film nous emporte dans un tour du Québec peu banal en compagnie de trois touristes américains. Un guide, hautement fantaisiste, mène le bal dans une atmosphère de santé et de bonne humeur. Des incidents baroques, des drôleries, quelques scènes amoureuses, des sarabandes comiques se bousculent dans cette comédie où l'actualité joue un rôle de premier plan. Satire sur nous-mêmes et notre société, ce film n'a qu'une ambition: donner la lune aux Québécois dans un monumental éclat de rire. (site ONF)

 
Q-bec my love (Jean Pierre Lefebvre, 1970, illico)

SYNOPSIS
Version nationaliste : C'est l'histoire d'une femme, Q-bec, dont le patron se nomme Peter Ottawa, l'amant, Sam Washington et le mari, Jean-Baptiste Bilingue. Version internationale : C'est l'histoire d'un pays, le Québec, dont le patron se nomme : le Canada, l'amant : les U.S.A., et la langue : le français, sur un continent où vivent plus de 200 millions d'anglophones. Version érotique : C'est l'histoire d'un film, Struggle for Love, réalisé avec la plus totale liberté, sans concession d'aucune sorte à aucune censure, qui veut rappeler au spectateur que le voyeurisme naît de la façon dont on regarde les choses et les êtres, non pas des choses et des êtres eux-mêmes. (Dossier de presse)


Les Plouffe (Gilles Carle, 1981, illico)

SYNOPSIS
Chronique d'une famille de Québec bouleversée par la crise économique et la guerre, qui transformèrent radicalement la province dans les années 1930 et 1940. Le prix L.-E.-Ouimet a été accordé au film en 1982 pour trois raisons : «l'envergure même du défi que représentait l'adaptation à l'écran du roman de Lemelin ; la qualité et la beauté des images de Protat ; la mise en scène et la façon magistrale avec laquelle Carle a dirigé ses comédiens.»


Quand je serai parti... vous vivrez encore (Michel Brault, 1999, illico et iTunes)

SYNOPSIS  
Le film se déroule en 1838, en plein coeur du conflit entre les habitants français du Bas-Canada et les occupants anglais. À l'automne de la même année, François-Xavier Bouchard et plusieurs de ses compatriotes sont capturés. Jugés par un tribunal militaire, 12 patriotes sont pendus devant la porte de la prison, sous les yeux horrifiés de leurs compagnons. Pendant plusieurs mois, des dizaines d'autres patriotes, eux aussi condamnés à mort, attendent dans l'angoisse une exécution qui ne viendra jamais. Le film est inspiré des journaux authentiques de ceux qui vécurent ces événements. (site Nanouk Films)

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