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Roger Frappier interpelle les institutions

Publié le 3 novembre 2016
Éléphant - Le producteur Roger Frappier nous explique pourquoi il compte prendre une année sabbatique et comment, après 30 ans de travail assidu, il dispose de moins de moyens qu?à ses débuts même s?il a de plus gros budgets.
Cette semaine, Éléphant a rencontré Roger Frappier , qui a récemment reçu le prix du producteur de l'année au Festival international du film de Toronto. Après 30 ans de travail assidu, il nous a confié éprouver de la lassitude et souhaiter prendre une année sabbatique après le tournage du film Hochelaga, terre des âmes, de François Girard.
 
Livrant une réflexion sur la nature de son travail et sur l'évolution des institutions et de l'industrie cinématographique depuis Le déclin de l'empire américain en 1986 jusqu'à son dernier film, Roger Frappier nous parle du défi de plus en plus grand que représente le tournage d'un film doté d'une véritable signature qui respecte l'essence première d'un scénario. Un discours touchant qui devrait interpeler toute personne intéressée par le cinéma québécois.
 
«Je me rends compte qu'après 30 ans de travail assidu comme producteur, j'ai en fait moins de moyens en ce moment, même si j'ai des plus gros budgets que lorsque j'ai commencé à produire il y a 30 ans.»
 

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