Données de diffusion
Premières
- Montréal, 23/1/1975
Gina est le premier long métrage de fiction où Arcand fait appel à des éléments autobiographiques, en l'occurrence l'expérience de son documentaire, On est au coton, que l'ONF avait refusé de sortir. «Gina est un film dur, admirablement joué, fort bien dirigé par un metteur en scène dont on sent la poigne et le tempérament [...] Les conditions de travail dans les usines de textile, la vie des danseuses envoyées par leurs gérants aux quatre coins de la province, la censure qui s'exerce contre un cinéma qui veut dire les choses telles qu'elles sont : voilà ce que Arcand connaît, voilà ce qu'il raconte dans Gina.» (Serge Dussault, 1975)
While Gina is a solid entry in the 70's film canon of chicks who get brutal revenge on men who rape them, it is also quintessentially Canadian (or, more accurately, Quebecois). All of the classic elements are there - the slow pacing which builds to the explosive last act, the electric guitar title music, the star getting naked, the gang-rape, the muscle car chase, the bloody finale...except in this case the setting is a town in Quebec in the middle of winter, the gang rides snowmobiles instead of motorcycles - and there is a film crew attempting to make a documentary expose on the local exploitive textile mill. Gina has a great socio-realist feel, AND a roaring purple Plymouth 383 Roadrunner. (IMDB)
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