Données de diffusion
Prix
- Prix L.-E.-Ouimet-Molson (devenu AQCC-SODEC), Meilleur long métrage québécois (1988)
Âgé d'une soixantaine d'années, seul, puceau, réduit à s'écrire des lettres enflammées, Félix Cotnoir est un desperado de l'amour, un être en état de quête perpétuelle. [...] L'art de Forcier permet au film d'exister à la frontière du plausible et de la folie, du désespoir et de l'humour, du sublime et du grotesque. Kalamazoo est un grand poème d'amour organisé avec maestria par l'auteur le plus singulier du cinéma québécois. (Marcel Jean, 1988)
À force de trop vouloir aimer, Félix Cotnoir est encore puceau à 68 ans. Mais qu'à cela ne tienne, le voici amoureux de la maîtresse de son ami, une romancière dont il n'a vu que la photo sur la couverture de son roman Kalamazoo ou elle était déguisée en sirène. D'un fantasme et d'une aventure à l'autre, c'est d'une véritable sirène que Félix Cotnoir deviendra amoureux. (revue de presse; SOGIC)
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