Mourir à tue-tête s'attaque à un sujet que les mentalités collectives s'acharnent à considérer comme tabou : le viol de la femme, de l'individuel (le cas de Suzanne) au rituel (la clitoridectomie), en passant par celui de masse (les Vietnamiennes). Le film va cependant plus loin en forçant le spectateur à se poser les questions fondamentales. Pourquoi le viol existe-t-il? Est-ce le sort naturel des femmes d'être violées? Qu'est-ce que le viol abîme chez la femme? Et où se situe la justice des hommes? (site ONF)
This feature film documents the rape and eventual suicide of Suzanne, a nurse whose physical and emotional health deteriorates beyond repair as a result of the violence inflicted on her. Images of ritual and mass rape reinforce the horror of this act of domination. In this docudrama drawn from case histories, the filmmaker explores social attitudes that cause women to feel guilty for being raped. It touches upon the physical, emotional, spiritual and legal aspects of this crime. (site ONF)
Ce film est une production de l'Office national du film du Canada.