Données de diffusion
Premières
- Cinéma Crémazie (salle de cinéma), Montréal, 11/8/1988
Prix
- Finaliste, prix Génie, Meilleur film canadien (1989)
Au crépuscule de sa vie, Céleste Beaumont, une pianiste de jazz réfugiée à New York, fait le bilan de son existence. Elle rédige alors son journal, qu'elle envoie à son fils, un artiste-peintre dont elle s'est séparée depuis longtemps. L'arrivée de cet «album intime» bouleverse Blaudelle et son fils Antoine, âgé de 10 ans. C'est par les yeux de ce dernier que nous vient le récit de la vie de Céleste, depuis son adolescence en 1922 à Val D'Amour jusqu'à la réalisation de ses ambitions. (site ONF)
Adaptation du roman de Jacques Savoie. Céleste Beaumont est une pianiste du cinéma muet qui traverse un siècle d'intolérance. On lui avait arraché son fils. Son petit-fils découvre son existence et raconte son histoire. «Mon intention avec Les portes tournantes était de faire un film où les personnages ne parleraient pratiquement pas, où tout se passerait dans le regard, les gestes, les silences, un film qui retrouverait la pureté du cinéma muet.» (F. Mankiewicz, 1988)
Notez que Canoe.ca et l'équipe d'Éléphant, mémoire du cinéma québécois se réservent le droit de ne pas publier un commentaire qui pourrait porter atteinte à la nétiquette.
Close