Données de diffusion
Premières
- Montréal, 13e Rendez-vous du cinéma québécois, 9/2/1995
Hémophile atteint du sida, Thomas, le fils d'une française et d'un québécois, décide contre l'avis de sa mère de venir vivre le peu de temps qu'il lui reste à l'Île Verte. Il y découvre une famille qui l'accueille avec chaleur et qui invite bientôt la mère. Une relation trouble va bientôt s'établir entre tout ce monde. (Cinémathèque québécoise)
«J'ai eu le coup de foudre pour l'Ile Verte l'été dernier alors que j'avais loué une maison près de celle de Gilles Carle. Je suis en amour avec cette île et ses résidants. Quand les Français m'ont parlé du scénario (un grand hémophile qui en a ras-le-bol de passer sa vie d'hôpital en hôpital refuse net de suivre le traitement AZT. Il quitte tout, sans même prévenir sa mère. Il va s'isoler. Il préfère être captif de sa maladie plutôt que de l'hôpital)… le contexte s'y prêtait. Alors en tant que coproducteur, réalisateur et coscénariste, j'ai suggéré aux Français d'isoler le jeune homme dans une île, là où il serait né. Captif dans le sens aussi qu'on y est à la merci des marées. Ça leur a plu.» (Extrait d'entrevue de Claude Gagnon. Source La Presse, 15 juin 1994, p. E 1)
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