Données de diffusion
Premières
- Arlequin (salle de cinéma), Montréal, 12/3/1970

«Il est tellement plus facile de vivre dans les illusions, celles-là même que colportent les mass-média, les promesses électorales et une certaine religion. Et si Q-bec-my-love ne nous permettait que de prendre conscience de cette banale vérité, je crois que l'entreprise de Jean Pierre Lefebvre n'aura pas été vaine. Et si ce film [ ... ] vous paraît être une farce d'un goût douteux, c'est que tout simplement vous n'avez pas su regarder la neige tomber.» (Jean-Pierre Tadros, 1970)
Version nationaliste : C'est l'histoire d'une femme, Q-bec, dont le patron se nomme Peter Ottawa, l'amant, Sam Washington et le mari, Jean-Baptiste Bilingue. Version internationale : C'est l'histoire d'un pays, le Québec, dont le patron se nomme : le Canada, l'amant : les U.S.A., et la langue : le français, sur un continent où vivent plus de 200 millions d'anglophones. Version érotique : C'est l'histoire d'un film, Struggle for Love, réalisé avec la plus totale liberté, sans concession d'aucune sorte à aucune censure, qui veut rappeler au spectateur que le voyeurisme naît de la façon dont on regarde les choses et les êtres, non pas des choses et des êtres eux-mêmes. (Dossier de presse)
Notez que Canoe.ca et l'équipe d'Éléphant, mémoire du cinéma québécois se réservent le droit de ne pas publier un commentaire qui pourrait porter atteinte à la nétiquette.
Close