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Jaloux: une première en toute complicité
En salles le 25 mars
Publié le 17 mars 2011 Les artisans du film Jaloux se disaient heureux de pouvoir présenter leur film en première montréalaise, mercredi soir, au cinéma eXcentris. Loin d'être anodins, leurs sourires traduisaient une réelle fierté devant une oeuvre tournée en toute liberté il y a presque trois ans.
Sophie Cadieux, Maxime Denommée et Benoît Gouin, qui tiennent les rôles principaux de ce film, n'ont pas seulement agi à titre d'acteurs sur la production. Le réalisateur Patrick Demers, qui signe avec Jaloux son premier long métrage, a choisi de donner dans l'expérimentation en leur permettant de s'impliquer au niveau de la scénarisation.
«J'avais envie d'être libre, a expliqué Patrick Demers, qui a tourné son film sans scénario et qui a reconstruit son histoire lors du montage. Je pense qu'un processus différent donne un résultat différent. C'est ce que je cherchais à faire.»
C'est donc avec l'idée d'aller à contre-courant de la méthode classique que le cinéaste s'est lancé dans son projet. C'est également pour cette raison qu'il dit avoir fait appel à des collaborateurs plutôt qu'à des comédiens pour incarner les personnages de ce suspense qui aborde le thème de la jalousie.
«J'ai choisi des gens qui croyaient en ma façon de faire et qui avaient envie de se lancer dans cette aventure, a ajouté Patrick Demers, qui travaille sur un nouveau projet de même nature. Je voulais que les acteurs aient une part créative dans le film et qu'ils soient écoutés. D'ailleurs, je pense que je ne suis pas le seul qui a eu du plaisir lors du tournage.»
En effet, les comédiens sont unanimes à ce sujet. Le film, tourné en 16 jours dans un chalet situé dans la région de Lanaudière, aura permis à toute l'équipe de développer une belle complicité créative.
«Tous les soirs, pendant le tournage, nous nous installions dans notre chalet et nous regardions les scènes tournées dans la journée, a raconté Sophie Cadieux. Nous pouvions parler du film jusqu'à 2 h du matin. Nous discutions de nos idées au fur et à mesure qu'elles venaient. C'était euphorisant d'avoir cette liberté-là.»
«Je suis un gars de famille, un gars de gang. Une fois sur le terrain, j'ai vraiment tripé. J'étais heureux comme un jeune en colonie de vacances, a lancé Benoît Gouin. Tout le monde mettait la main à l'ouvrage. Il n'y avait pas d'ego. C'était le pur plaisir de créer.»
Présenté, entre autres, aux festivals de Karlovy Vary et de Toronto, Jaloux nous plonge dans la réalité d'un couple, formé de Maxime Denommée et Sophie Cadieux, pour qui rien ne va plus. Tentant de donner une chance à leur union, le couple se rend pour un week-end dans un chalet où il fera la connaissance d'un homme mystérieux (Benoît Gouin) qui prétend être leur voisin.
Jaloux prendra l'affiche le 25 mars.
Sophie Cadieux, Maxime Denommée et Benoît Gouin, qui tiennent les rôles principaux de ce film, n'ont pas seulement agi à titre d'acteurs sur la production. Le réalisateur Patrick Demers, qui signe avec Jaloux son premier long métrage, a choisi de donner dans l'expérimentation en leur permettant de s'impliquer au niveau de la scénarisation.
«J'avais envie d'être libre, a expliqué Patrick Demers, qui a tourné son film sans scénario et qui a reconstruit son histoire lors du montage. Je pense qu'un processus différent donne un résultat différent. C'est ce que je cherchais à faire.»
C'est donc avec l'idée d'aller à contre-courant de la méthode classique que le cinéaste s'est lancé dans son projet. C'est également pour cette raison qu'il dit avoir fait appel à des collaborateurs plutôt qu'à des comédiens pour incarner les personnages de ce suspense qui aborde le thème de la jalousie.
«J'ai choisi des gens qui croyaient en ma façon de faire et qui avaient envie de se lancer dans cette aventure, a ajouté Patrick Demers, qui travaille sur un nouveau projet de même nature. Je voulais que les acteurs aient une part créative dans le film et qu'ils soient écoutés. D'ailleurs, je pense que je ne suis pas le seul qui a eu du plaisir lors du tournage.»
En effet, les comédiens sont unanimes à ce sujet. Le film, tourné en 16 jours dans un chalet situé dans la région de Lanaudière, aura permis à toute l'équipe de développer une belle complicité créative.
«Tous les soirs, pendant le tournage, nous nous installions dans notre chalet et nous regardions les scènes tournées dans la journée, a raconté Sophie Cadieux. Nous pouvions parler du film jusqu'à 2 h du matin. Nous discutions de nos idées au fur et à mesure qu'elles venaient. C'était euphorisant d'avoir cette liberté-là.»
«Je suis un gars de famille, un gars de gang. Une fois sur le terrain, j'ai vraiment tripé. J'étais heureux comme un jeune en colonie de vacances, a lancé Benoît Gouin. Tout le monde mettait la main à l'ouvrage. Il n'y avait pas d'ego. C'était le pur plaisir de créer.»
Présenté, entre autres, aux festivals de Karlovy Vary et de Toronto, Jaloux nous plonge dans la réalité d'un couple, formé de Maxime Denommée et Sophie Cadieux, pour qui rien ne va plus. Tentant de donner une chance à leur union, le couple se rend pour un week-end dans un chalet où il fera la connaissance d'un homme mystérieux (Benoît Gouin) qui prétend être leur voisin.
Jaloux prendra l'affiche le 25 mars.