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«L'envers du décor»
Funkytown
Publié le 18 janvier 2011 MONTRÉAL - Aucun des acteurs approchés par le réalisateur Daniel Roby, qu'il s'agisse de Patrick Huard, de Paul Doucet ou de Raymond Bouchard, n'a pu laisser passer l'occasion de jouer dans Funkytown.
«Dès que j'ai eu fini de lire le scénario, j'ai dit à Daniel que c'était sûr que je voulais [tenir le rôle de Bastien]. J'ai adoré, je tournais les pages les unes après les autres et je n'étais pas capable de décrocher, j'étais vraiment pris par l'histoire», a dit Patrick Huard lors de la présentation organisée deux semaines avant la sortie du long métrage. Dans le film choral au budget de 8 millions $, il incarne Bastien Lavallée, animateur de radio et d'émission de télévision, modelé sur Alain Montpetit.
Pour Paul Doucet, exceptionnel en Jonathan, librement inspiré du flamboyant Coco Douglas Leopold, «ça ne se refuse pas!»
«Je ne sais pas comment l'expliquer, je me suis vraiment branché sur Jonathan, a-t-il expliqué. J'avais du plaisir à penser toutes sortes de petites vacheries et à les dire! C'était quelqu'un de libre, de totalement assumé dans ce qu'il était.»
Gilles Lefebvre, producteur de disques et père de Daniel, le propriétaire du Starlight, la fameuse discothèque à la mode, est interprété par nul autre que Raymond Bouchard. «C'est un magouilleur. En général, j'accepte parce que je tombe en amour avec un personnage», a-t-il expliqué.
Musique omniprésente
Le rythme de Funkytown, un drame d'époque, est soutenu par une trame sonore comprenant les succès des années disco. Daniel Roby a détaillé sa démarche de choix.
«J'ai eu, après la recherche musicale, 300 ou 400 chansons. Je les ai toutes écoutées et ai choisi les chansons que j'aimais. J'ai ensuite éliminé celles que j'avais déjà entendues dans des films similaires.»
Ensuite, il lui a fallu jumeler chaque chanson à la bonne séquence, en tenant compte du prix des droits à payer pour les enregistrements originaux. Si Funkytown, la pièce, est bien l'originale des Lipps Inc par exemple, I Feel Love, de Donna Summer, est interprétée par Florence K.
Le scénariste Steve Galluccio, lui, s'est donné comme mission de montrer l'envers du décor. «C'est bien beau, mais qu'arrive-t-il dans une discothèque quand elle ferme et qu'on ouvre les lumières? C'est très laid.»
Funkytown, réalisé par Daniel Roby, scénarisé par Steve Galluccio et mettant en vedette Patrick Huard, Paul Doucet, Justin Chatwin, Raymond Bouchard et Geneviève Brouillette, prend l'affiche le 28 janvier à travers le Québec.
«Dès que j'ai eu fini de lire le scénario, j'ai dit à Daniel que c'était sûr que je voulais [tenir le rôle de Bastien]. J'ai adoré, je tournais les pages les unes après les autres et je n'étais pas capable de décrocher, j'étais vraiment pris par l'histoire», a dit Patrick Huard lors de la présentation organisée deux semaines avant la sortie du long métrage. Dans le film choral au budget de 8 millions $, il incarne Bastien Lavallée, animateur de radio et d'émission de télévision, modelé sur Alain Montpetit.
Pour Paul Doucet, exceptionnel en Jonathan, librement inspiré du flamboyant Coco Douglas Leopold, «ça ne se refuse pas!»
«Je ne sais pas comment l'expliquer, je me suis vraiment branché sur Jonathan, a-t-il expliqué. J'avais du plaisir à penser toutes sortes de petites vacheries et à les dire! C'était quelqu'un de libre, de totalement assumé dans ce qu'il était.»
Gilles Lefebvre, producteur de disques et père de Daniel, le propriétaire du Starlight, la fameuse discothèque à la mode, est interprété par nul autre que Raymond Bouchard. «C'est un magouilleur. En général, j'accepte parce que je tombe en amour avec un personnage», a-t-il expliqué.
Musique omniprésente
Le rythme de Funkytown, un drame d'époque, est soutenu par une trame sonore comprenant les succès des années disco. Daniel Roby a détaillé sa démarche de choix.
«J'ai eu, après la recherche musicale, 300 ou 400 chansons. Je les ai toutes écoutées et ai choisi les chansons que j'aimais. J'ai ensuite éliminé celles que j'avais déjà entendues dans des films similaires.»
Ensuite, il lui a fallu jumeler chaque chanson à la bonne séquence, en tenant compte du prix des droits à payer pour les enregistrements originaux. Si Funkytown, la pièce, est bien l'originale des Lipps Inc par exemple, I Feel Love, de Donna Summer, est interprétée par Florence K.
Le scénariste Steve Galluccio, lui, s'est donné comme mission de montrer l'envers du décor. «C'est bien beau, mais qu'arrive-t-il dans une discothèque quand elle ferme et qu'on ouvre les lumières? C'est très laid.»
Funkytown, réalisé par Daniel Roby, scénarisé par Steve Galluccio et mettant en vedette Patrick Huard, Paul Doucet, Justin Chatwin, Raymond Bouchard et Geneviève Brouillette, prend l'affiche le 28 janvier à travers le Québec.