Retour à toutes les nouvelles Retour à toutes les nouvelles
Le film inspiré de la vie de Geneviève Jeanson tourné au printemps
Cinéma québécois
Publié le 11 décembre 2012 En développement depuis des années, le film Le temps que durent les roses, librement inspiré de la vie de Geneviève Jeanson, a reçu hier l'appui financier de la SODEC. Mettant en vedette Laurence Leboeuf et Patrice Robitaille, le film sera tourné au printemps. Des projets de Jean-Philippe Duval, Stéphane Lapointe, Rafaël Ouellet et Ricardo Trogi ont également été acceptés.
Réalisé par Alexis Durand-Brault (Ma fille, mon ange) et scénarisé par Sophie Lorain et Catherine Léger, Le temps que durent les roses racontera «l'histoire d'une coureuse cycliste québécoise (Laurence Leboeuf) qui devra faire des choix alors que des soupçons de dopage menacent sa carrière», selon ce qu'on peut lire dans le communiqué diffusé hier par la SODEC.
«La ligne de départ du film, c'est le prix à payer pour réussir», explique le producteur Richard Lalonde (Forum Films), joint hier.
«Avec tout ce qui s'est passé avec Geneviève Jeanson, mais aussi récemment avec Lance Armstrong, c'est un sujet qui tombe à point. Mais ce n'est pas un film sombre. C'est un film sur la rédemption.»
Le tournage débutera en avril, en Belgique, pendant la course de la Flèche Wallonne, une épreuve que Geneviève Jeanson a remportée en 2000. Le film sera aussi tourné à Montréal et à Phoenix, où vit actuellement l'ancienne cycliste qui a admis en 2007 s'être dopée à l'EPO depuis l'âge de 16?ans. La sortie en salle est prévue pour 2014.
Particularité intéressante, le producteur cherche un commanditaire principal qui accepterait de collaborer au financement du film en plaçant son logo sur le maillot de cycliste du personnage principal.
«C'est une belle vitrine», signale Richard Lalonde.
Avoir 17 ans en 1987
Ricardo Trogi (Québec-Montréal, Horloge biologique) a lui aussi reçu le feu vert pour son film 1987, la suite de sa comédie dramatique autobiographique 1981. L'acteur Jean-Carl Boucher reprendra le rôle de Ricardo, maintenant âgé de 17 ans.
Stéphane Lapointe, le réalisateur de la série télé Tout sur moi, prépare son retour au cinéma six ans après son premier long métrage, La vie secrète des gens heureux. Son prochain film, Ghost(s), raconte les péripéties d'un auteur qui doit faire appel aux services d'un écrivain fantôme.
Jean-Philippe Duval (Dédé à travers les brumes) planche quant à lui sur le film La marraine et moi, qui relatera la rencontre entre un adolescent de 16 ans et une femme de pouvoir à la tête d'un réseau de prostitution. Leurs destins respectifs seront à tout jamais changés.
Tourné l'été passé, le film Premier amour, de Guillaume Sylvestre, a également reçu l'appui financier de la SODEC hier. La cinéaste Julie Hivon (Tromper le silence) pourra aussi aller de l'avant avec son prochain projet de film, Qu'est-ce qu'on fait ici?, qui raconte l'histoire d'un groupe de jeunes dans la vingtaine qui est bouleversé par la mort tragique de l'un d'entre eux.
La SODEC a également donné son appui à deux projets de longs métrages en anglais et à quatre coproductions minoritaires.
Réalisé par Alexis Durand-Brault (Ma fille, mon ange) et scénarisé par Sophie Lorain et Catherine Léger, Le temps que durent les roses racontera «l'histoire d'une coureuse cycliste québécoise (Laurence Leboeuf) qui devra faire des choix alors que des soupçons de dopage menacent sa carrière», selon ce qu'on peut lire dans le communiqué diffusé hier par la SODEC.
«La ligne de départ du film, c'est le prix à payer pour réussir», explique le producteur Richard Lalonde (Forum Films), joint hier.
«Avec tout ce qui s'est passé avec Geneviève Jeanson, mais aussi récemment avec Lance Armstrong, c'est un sujet qui tombe à point. Mais ce n'est pas un film sombre. C'est un film sur la rédemption.»
Le tournage débutera en avril, en Belgique, pendant la course de la Flèche Wallonne, une épreuve que Geneviève Jeanson a remportée en 2000. Le film sera aussi tourné à Montréal et à Phoenix, où vit actuellement l'ancienne cycliste qui a admis en 2007 s'être dopée à l'EPO depuis l'âge de 16?ans. La sortie en salle est prévue pour 2014.
Particularité intéressante, le producteur cherche un commanditaire principal qui accepterait de collaborer au financement du film en plaçant son logo sur le maillot de cycliste du personnage principal.
«C'est une belle vitrine», signale Richard Lalonde.
Avoir 17 ans en 1987
Ricardo Trogi (Québec-Montréal, Horloge biologique) a lui aussi reçu le feu vert pour son film 1987, la suite de sa comédie dramatique autobiographique 1981. L'acteur Jean-Carl Boucher reprendra le rôle de Ricardo, maintenant âgé de 17 ans.
Stéphane Lapointe, le réalisateur de la série télé Tout sur moi, prépare son retour au cinéma six ans après son premier long métrage, La vie secrète des gens heureux. Son prochain film, Ghost(s), raconte les péripéties d'un auteur qui doit faire appel aux services d'un écrivain fantôme.
Jean-Philippe Duval (Dédé à travers les brumes) planche quant à lui sur le film La marraine et moi, qui relatera la rencontre entre un adolescent de 16 ans et une femme de pouvoir à la tête d'un réseau de prostitution. Leurs destins respectifs seront à tout jamais changés.
Tourné l'été passé, le film Premier amour, de Guillaume Sylvestre, a également reçu l'appui financier de la SODEC hier. La cinéaste Julie Hivon (Tromper le silence) pourra aussi aller de l'avant avec son prochain projet de film, Qu'est-ce qu'on fait ici?, qui raconte l'histoire d'un groupe de jeunes dans la vingtaine qui est bouleversé par la mort tragique de l'un d'entre eux.
La SODEC a également donné son appui à deux projets de longs métrages en anglais et à quatre coproductions minoritaires.