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Les meilleures entrevues de 2021

Publié le 14 décembre 2021
Éléphant - Encore cette année, Éléphant est allé à la rencontre de plusieurs cinéastes et artisans du cinéma québécois qui nous ont parlé de leur démarche et de leur parcours.
Encore cette année, Éléphant est allé à la rencontre de plusieurs cinéastes et artisans du cinéma québécois qui nous ont parlé de leur démarche et de leur parcours. Nous vous proposons ici les principales entrevues menées par notre équipe en 2021.


Le célèbre producteur et créateur des Contes pour tous, Rock Demers, nous a quittés l'été dernier. Dans cette entrevue émouvante qu'il nous a accordée l'hiver dernier, il nous parle de la célèbre collection de films. Il nous raconte comment l'idée de faire ces films lui est venue et discute des grandes lignes directrices des oeuvres et des valeurs qu'il souhait véhiculer, avec plusieurs anecdotes surprenantes au passage. Une entrevue touchante qui restera longtemps gravée dans notre mémoire.
 
 



Pour souligner le 8 mars, Éléphant vous propose une entrevue avec Guylaine Dionne, réalisatrice des Fantômes des 3 Madeleine. La cinéaste nous parle de son intérêt pour les personnages féminins, de son désir de voir l'imaginaire des femmes mieux représenté à l'écran et de sa volonté de faire travailler des femmes de talent.
 
 



André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 4: Le quêteux Tremblay (Saint-Basile-de-Portneuf, Québec), Le p'tit Canada (Lowell, Massachussetts) et Fred's Lounge (Mamou, Louisiane).
 
 


André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 5: Votre histoire ça va être une chanson (Lotbinière, Québec), J'ai chanté, j'ai déchanté et je rechante (Bretagne) et Ma chère terre (Louisiane).
 
 


André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 6: Les gens du plaisir (Saint-Denis-sur-Richelieu), La terre d'amitié (Poitou) et C'est pu comme ça anymore (Missouri).
 
 



Le cinéaste Robert Morin nous parle de ses débuts et de ses inspirations. Il nous explique comment il est passé de la peinture à la photographie, puis à la direction photo et au cinéma. Il nous parle aussi du cinéaste qui l'a le plus influencé.
 
 


Robert Morin nous apprend qu'il ne lit jamais d'articles sur lui, qu'il fait les choses sans regarder en arrière et qu'il mène toujours plusieurs projets de front. Il nous confie aussi que son imaginaire fonctionne bien dans l'ébullition du moment.
 
 


Robert Morin nous confie qu'il a toujours préféré la vidéo au cinéma et explique comment il a réalisé la première vidéo produite par l'ONF. Il affirme aimer la luminosité particulière du média et fait un rapprochement avec la peinture impressionniste.
 
 



Bernadette Payeur, productrice du film 15 février 1839, nous parle des difficultés de financement qu'a connu Pierre Falardeau et nous explique comment la pression citoyenne et différentes initiatives ont contribué à ce que son film voie le jour.
 
 



Mireille Dansereau présente La vie rêvée (1972), nous parle du contexte social au Québec à son retour de Londres, de son désir de parler d'amitié entre femmes, du temps qu'il a fallu pour que son film soit reconnu et perçu comme un film engagé.
 
 



Le cinéaste Denis Villeneuve nous parle de l'importance des personnages principaux féminins dans ses deux premiers longs métrages, Un 32 août sur terre et Maelström, et de la fascination qu'il a toujours eue pour la féminité.
 
 



Denis Villeneuve parle de sa quête identitaire de cinéaste et nous explique en quoi Maelström est pour lui un film pivot dans son parcours. Il nous fait part de son amour du cinéma américain et aussi de son admiration pour les cinéastes québécois.
 
 



Pierre Harel, le réalisateur du film Bulldozer (1974), nous parle de ses souvenirs de la fondation de l'ACPAV, qui célèbre ses 50 ans en 2021.
 
 



Dans le cadre des 50 ans de l'ACPAV, Éléphant a réalisé une capsule dans laquelle différents cinéastes et producteurs partagent leurs réflexions sur le métier de producteur et disent en quoi il est essentiel pour concrétiser la vision d'un cinéaste.
 
 



Différents cinéastes et producteurs parlent de la fondation de l'Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV) en 1971 et mettent en contexte l'esprit qui animait à l'époque ses différents fondateurs et les premières oeuvres tournées.
 
 


Dans cette capsule, des cinéastes et producteurs de l'ACPAV essaient de rendre compte de l'esprit qui règne dans cette boîte de production depuis 50 ans. Ils discutent de la passion de ses artisans pour le cinéma, de la ligne éditoriale de la maison.
 
 

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