Les meilleures entrevues réalisées par Éléphant en 2022

Au fur et à mesure qu'il numérise et restaure les oeuvres de notre patrimoine cinématographique, Éléphant va aussi à la rencontre des créateurs et des artisans de notre cinéma afin qu'ils partagent avec nous leurs souvenirs et nous éclairent sur leur démarche. Éléphant mène aussi périodiquement des entrevues de fond avec certains acteurs et cinéastes établis pour revoir avec eux leur filmographie complète et les laisser s'exprimer sur des moments marquants de leur carrière. Voici quelques-unes des meilleures entrevues menées par notre équipe en 2022.

André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 7: Les ruine-babines (Saint-Damase et Mtl, Québec), Parler breton c'était un crime (Bretagne) et Le dernier boutte (Port-au-Port, Terre-Neuve).

 

 

 

  

André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 8: Le reel des ouvriers (Saint-Basile, Québec), And a bit of music (Coore, County Clare, Irlande) et Les gens libres (Saint-Ambroise, Manitoba).

 

 

 

 

André Gladu, concepteur et coréalisateur de la série, partage des souvenirs des 3 épisodes du programme 9: Je suis fait de musique (Mtl, Québec), Il'allont-y disparaître? (Chéticamp, Nouvelle-Écosse) et Réveille (Scott Cankton et Carencro, Lousiane).

 

 

  

Entrevue de fond avec Louise Portal 

Figure incontournable de notre cinéma, l'actrice, chanteuse et écrivaine Louise Portal nous parle de sa prolifique carrière, de ses expériences déterminantes, de ses rôles les plus marquants et de sa démarche artistique.

 

 

Le réalisateur André Forcier nous confie quelques secrets de tournage de son premier long métrage de fiction, Le retour de l'Immaculée Conception, qu'il qualifie de film-école et qui a été réalisé de façon complètement indépendante.

 

 

 

 

Monique Proulx nous parle de son livre Le sexe des étoiles, du tabou entourant la transsexualité à la fin des années 80 et des choix qu'elle a dû faire lorsqu'elle a écrit le scénario pour le film à partir de son oeuvre.

 

 

 

Denys Arcand nous confie avoir été inspiré des films de bandits des années 40 et 50 et avoir voulu donner la parole à des Québécois de classes défavorisées, alors que Marcel Sabourin nous parle de la spontanéité et de la liberté totale du tournage.

 

 

 

L'artiste Raôul Duguay décrit L'infonie comme une symphonie de l'infini, une quête de l'absolu, et le cinéaste Roger Frappier parle du désir de tourner un film en stéréophonie et d'un enregistrement visant à traduire la richesse du son du groupe.