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Soir de première pour Angle mort
Avec Karine Vanasse et Sébastien Huberdeau
Publié le 22 février 2011 MONTRÉAL - C'est avec fierté que les artisans d'Angle mort ont foulé le tapis rouge déroulé en leur honneur au Cinéma Impérial, lundi soir, alors qu'avait lieu la première montréalaise de ce thriller qui incarne le cauchemar de tous les voyageurs.
Tourné en sol cubain l'hiver dernier, ce film qui met en vedette les acteurs Karine Vanasse, Sébastien Huberdeau et Peter Miller est l'un des rares longs métrages québécois à toucher au suspense, un genre qu'affectionne particulièrement Dominic James, son réalisateur.
«Je pense que le plus grand défi avec Angle mort a été de garder en tête le fait que nous voulions faire un film qui s'adresse à un large public, a expliqué le jeune cinéaste. Tout film de suspense a ses clichés de type série B. Quand tu es capable de l'équilibrer avec de bons comédiens, ça donne une crédibilité qui, selon moi, est essentielle.»
Ces comédiens, ce sont principalement Karine Vanasse et Sébastien Huberdeau, qui forment à l'écran un couple qui bat de l'aile. Tentant de se rapprocher lors de vacances dans la République de Santiago, pays fictif d'Amérique du Sud, le duo croisera malgré lui le chemin d'un tueur « justicier » incarné par Peter Miller.
«J'étais très heureux de pouvoir retrouver Karine après Polytechnique, film dans lequel nous avons joué tous les deux. Je dois dire que le fait de tourner à Cuba pendant deux mois m'a également beaucoup séduit à lecture du scénario », a expliqué Sébastien Huberdeau.
«J'ai été attirée par le genre de projet dès le départ. Je me suis demandé comment j'allais adapter mon jeu à un thriller. Pour moi, c'était un très beau défi, a affirmé Karine Vanasse. Même si Dominic James est un jeune réalisateur, c'est tellement un genre qu'il affectionne que je lui ai fait confiance. Je n'ai pas souvent eu la chance de travailler avec des réalisateurs de mon âge. Ç'a été une très belle expérience.»
Pour Peter Miller, méconnaissable sous le masque de grand brûlé qu'il a dû porter pour les besoins du film, le tournage d'Angle mort s'est avéré être une véritable partie de plaisir.
«Dominic James est un bon ami à moi et je n'ai pas hésité une seconde lorsqu'on m'a proposé le rôle, a-t-il expliqué. En plus, je dois dire que j'adore jouer des méchants. Il y a un côté physique dans ce genre de rôle qui me plaît énormément.»
«C'était bien d'être dans des situations où je devais réagir simplement par le souffle ou l'étonnement, a ajouté Karine Vanasse. Si je n'avais pas fait Angle mort, je n'aurais jamais été capable de faire Switch, un film d'action français dans lequel j'ai joué l'été dernier. C'est rassurant de constater qu'on apprend de tous ses projets.»
Angle mort prendra l'affiche dans les salles du Québec le 25 février.
Tourné en sol cubain l'hiver dernier, ce film qui met en vedette les acteurs Karine Vanasse, Sébastien Huberdeau et Peter Miller est l'un des rares longs métrages québécois à toucher au suspense, un genre qu'affectionne particulièrement Dominic James, son réalisateur.
«Je pense que le plus grand défi avec Angle mort a été de garder en tête le fait que nous voulions faire un film qui s'adresse à un large public, a expliqué le jeune cinéaste. Tout film de suspense a ses clichés de type série B. Quand tu es capable de l'équilibrer avec de bons comédiens, ça donne une crédibilité qui, selon moi, est essentielle.»
Ces comédiens, ce sont principalement Karine Vanasse et Sébastien Huberdeau, qui forment à l'écran un couple qui bat de l'aile. Tentant de se rapprocher lors de vacances dans la République de Santiago, pays fictif d'Amérique du Sud, le duo croisera malgré lui le chemin d'un tueur « justicier » incarné par Peter Miller.
«J'étais très heureux de pouvoir retrouver Karine après Polytechnique, film dans lequel nous avons joué tous les deux. Je dois dire que le fait de tourner à Cuba pendant deux mois m'a également beaucoup séduit à lecture du scénario », a expliqué Sébastien Huberdeau.
«J'ai été attirée par le genre de projet dès le départ. Je me suis demandé comment j'allais adapter mon jeu à un thriller. Pour moi, c'était un très beau défi, a affirmé Karine Vanasse. Même si Dominic James est un jeune réalisateur, c'est tellement un genre qu'il affectionne que je lui ai fait confiance. Je n'ai pas souvent eu la chance de travailler avec des réalisateurs de mon âge. Ç'a été une très belle expérience.»
Pour Peter Miller, méconnaissable sous le masque de grand brûlé qu'il a dû porter pour les besoins du film, le tournage d'Angle mort s'est avéré être une véritable partie de plaisir.
«Dominic James est un bon ami à moi et je n'ai pas hésité une seconde lorsqu'on m'a proposé le rôle, a-t-il expliqué. En plus, je dois dire que j'adore jouer des méchants. Il y a un côté physique dans ce genre de rôle qui me plaît énormément.»
«C'était bien d'être dans des situations où je devais réagir simplement par le souffle ou l'étonnement, a ajouté Karine Vanasse. Si je n'avais pas fait Angle mort, je n'aurais jamais été capable de faire Switch, un film d'action français dans lequel j'ai joué l'été dernier. C'est rassurant de constater qu'on apprend de tous ses projets.»
Angle mort prendra l'affiche dans les salles du Québec le 25 février.