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2011, une année de films coup de poing
Remstar Films
Publié le 25 janvier 2011 MONTRÉAL - Pour 2011, Remstar Films risque de frapper plusieurs grands coups avec une quantité de films de qualité qui feront certainement parler d'eux.
Des boîtes de nuit des années 1970 aux prisons espagnoles, en passant par les routes d'Amérique latine, les sujets s'avèrent diversifiés et captivants.
Pascale Hébert, vice-présidente et directrice générale de Remstar, et Nathalie Brigitte Bustos, directrice des acquisitions et de la distribution, ont présenté lundi à une poignée de médias les films qui ont été confirmés pour le calendrier de 2011 de Remstar.
«Mais il se peut que nous ajoutions d'autres films parce que je vais bientôt aller au Festival de Berlin, a dit Nathalie Brigitte. Il y a aussi les festivals de Cannes et de Toronto où nous allons peut-être faire des acquisitions.»
Films francophones
Du côté des productions québécoises francophones, Remstar en présentera trois cette année. La première à prendre l'affiche est Funkytown, le 28 janvier.
«On ne pouvait pas compter sur un meilleur film pour lancer notre année», a indiqué Nathalie Brigitte. Tourné en français et en anglais, comme l'avait été Bon cop, bad cop, le film sortira également au Canada anglais le 4 mars.
Prenant l'affiche le 25 février, Angle mort est réalisé par Dominic James et comprend les acteurs Karine Vanasse et Sébastien Huberdeau, qui jouent un couple pourchassé par un tueur en série (Peter Miller) durant un voyage en Amérique latine. Tourné à Cuba, dans la région de La Havane, le thriller possède une facture visuelle originale. «Je n'ai jamais vu un film comme ça au Québec», a relaté Pascale Hébert.
Après avoir réalisé Ce qu'il faut pour vivre, Benoît Pilon revient avec Décharge. En plus de la participation de David Boutin et d'Isabel Richer, le film marquera le premier grand rôle de Sophie Desmarais, qui campe une jeune toxicomane sous l'emprise d'un gang de rue. Remstar Films attend les réponses de différents festivals avant de fixer une date de sortie au Québec.
Dominic James sera fort actif en 2011 avec la sortie de Die, qui est officiellement sa toute première réalisation au grand écran. Avec une histoire rappelant Décadence (Saw), le film suit six étrangers qui se retrouvent dans une cage en verre et qui doivent jouer leur destin en lançant des dés.
Mettant en vedette un Roc Lafortune méconnaissable, Territoires est un long métrage dans lequel cinq jeunes se font enlever par des douaniers à la frontière américaine. «C'est un genre de Blair Witch Project (NDLR Le projet Blair) sans le côté paranormal», a précisé Nathalie Brigitte.
Jeune cinéaste qui avait choqué l'an dernier avec le clip Born Free, de M.I.A., Romain Gavras arrive avec son premier film, Notre jour viendra, qui navigue dans les mêmes eaux que le dérangeant vidéoclip. Vincent Cassel et Olivier Barthélémy sont les acteurs principaux.
Enfin, la production espagnole Cellule 211 devrait captiver les amateurs de films de prison. Le film a remporté huit Prix Goya (les Oscars espagnols), dont ceux du meilleur film, de la meilleure réalisation, du meilleur scénario adapté et du meilleur acteur.
Des boîtes de nuit des années 1970 aux prisons espagnoles, en passant par les routes d'Amérique latine, les sujets s'avèrent diversifiés et captivants.
Pascale Hébert, vice-présidente et directrice générale de Remstar, et Nathalie Brigitte Bustos, directrice des acquisitions et de la distribution, ont présenté lundi à une poignée de médias les films qui ont été confirmés pour le calendrier de 2011 de Remstar.
«Mais il se peut que nous ajoutions d'autres films parce que je vais bientôt aller au Festival de Berlin, a dit Nathalie Brigitte. Il y a aussi les festivals de Cannes et de Toronto où nous allons peut-être faire des acquisitions.»
Films francophones
Du côté des productions québécoises francophones, Remstar en présentera trois cette année. La première à prendre l'affiche est Funkytown, le 28 janvier.
«On ne pouvait pas compter sur un meilleur film pour lancer notre année», a indiqué Nathalie Brigitte. Tourné en français et en anglais, comme l'avait été Bon cop, bad cop, le film sortira également au Canada anglais le 4 mars.
Prenant l'affiche le 25 février, Angle mort est réalisé par Dominic James et comprend les acteurs Karine Vanasse et Sébastien Huberdeau, qui jouent un couple pourchassé par un tueur en série (Peter Miller) durant un voyage en Amérique latine. Tourné à Cuba, dans la région de La Havane, le thriller possède une facture visuelle originale. «Je n'ai jamais vu un film comme ça au Québec», a relaté Pascale Hébert.
Après avoir réalisé Ce qu'il faut pour vivre, Benoît Pilon revient avec Décharge. En plus de la participation de David Boutin et d'Isabel Richer, le film marquera le premier grand rôle de Sophie Desmarais, qui campe une jeune toxicomane sous l'emprise d'un gang de rue. Remstar Films attend les réponses de différents festivals avant de fixer une date de sortie au Québec.
Dominic James sera fort actif en 2011 avec la sortie de Die, qui est officiellement sa toute première réalisation au grand écran. Avec une histoire rappelant Décadence (Saw), le film suit six étrangers qui se retrouvent dans une cage en verre et qui doivent jouer leur destin en lançant des dés.
Mettant en vedette un Roc Lafortune méconnaissable, Territoires est un long métrage dans lequel cinq jeunes se font enlever par des douaniers à la frontière américaine. «C'est un genre de Blair Witch Project (NDLR Le projet Blair) sans le côté paranormal», a précisé Nathalie Brigitte.
Jeune cinéaste qui avait choqué l'an dernier avec le clip Born Free, de M.I.A., Romain Gavras arrive avec son premier film, Notre jour viendra, qui navigue dans les mêmes eaux que le dérangeant vidéoclip. Vincent Cassel et Olivier Barthélémy sont les acteurs principaux.
Enfin, la production espagnole Cellule 211 devrait captiver les amateurs de films de prison. Le film a remporté huit Prix Goya (les Oscars espagnols), dont ceux du meilleur film, de la meilleure réalisation, du meilleur scénario adapté et du meilleur acteur.